La commune de la loubière
La commune de La Loubière fut créée en 1850 sur la base de la fusion des communes de La Loubière, Ortholès et Lioujas.
L’essentiel des équipements publics collectifs sont implantés au bourg de Lioujas qui est celui qui a connu la plus forte urbanisation en maisons individuelles. C’est notamment le cas de la Mairie même si notre commune est dite de La Loubière mais aussi de l’école communale, du complexe sportif, du gymnase et de la salle d’animation.des Epis, de la crèche et du nouvel atelier municipal.
Située à proximité de la tentaculaire agglomération Ruthénoise, notre commune a connu une importante croissance démographique (avec plus de 1400 habitants actuellement) et économique, grâce notamment à l’extension du Parc d’Activités. Nous sommes rattachés administrativement à la communauté de communes de Bozouls-Comtal territorialement calquée sur le canton de Bozouls.
L’Espace Naturel de la Devèze Grande a été aménagé entre les bourgs de Lioujas et de Campeyroux. Des sentiers matérialisés facilitent le parcours en famille. Un parcours sportif et un terrain de BMX, libres d’accès sont à la disposition des sportifs. Afin de protéger la faune et la flore, riches d’espèces rares ou protégées et pour assurer la sécurité et la tranquillité des promeneurs, l’accès est rigoureusement interdit à tous les véhicules motorisés.
Le sentier botanique « de la pierre à la vie » de Cayssac-Gages et l’espace restauré sur des critères écologiques rigoureux du Causse Comtal sont devenus des sites propices aux promenades qui s’ajoutent aux sentiers de randonnée répertoriés dans un guide encore disponible en mairie.
A l’origine essentiellement rurale et vouée à la polyculture et à l’élevage bovin (production de lait et viande) et ovin (production de lait pour la fabrication du Roquefort), la commune de La Loubière a également basé son essor sur le dynamisme d’artisans et d’entrepreneurs installés en particulier au Parc d’Activités de Lioujas récemment agrandi. Ces activités économiques diverses ont plus que compensé la cessation d’activité de la carrière de baryte de Pessens qui fut longtemps le plus important employeur de la commune.
L’urbanisation bien maîtrisée et exclusivement basée sur des maisons individuelles, de chacun des villages composant la commune de La Loubière (Campeyroux, Canabols, Lioujas, La Loubière, Ortholès, Pessens, Les Cousteilles, La Prade, Baraque de Turq et Pailhoriès) a constitué un pôle d’attraction pour de jeunes ménages professionnellement établis sur l’agglomération du chef-lieu, en quête d’un environnement rural. Cette ruralité et les diverses richesses patrimoniales (chapelle et fontaine Romane de Cayssac, Tour d’Ortholès, église de La Loubière, caselles, fontaines et fours à pains) sont largement et jalousement préservées pour l’ensemble de notre commune qui s’étale de l’aride plateau du Causse Comtal jusqu’au pied du dôme de la forêt des Palanges, séparés par la plaine de la vallée de l’Aveyron et le Rougier sur une superficie totale de 2871 hectares dont 214 de bois.
Cadre de vie et environnement
Notre commune possède une richesse naturelle d’une grande valeur.
En effet, nous avons la chance d’avoir trois espaces naturels identifiés, aménagés et protégés : la Devèze Grande, la Réserve de Chasse du Causse Comtal (partagée avec la commune de Sébazac) et le Sentier Natura 2000 de Cayssac (partagé avec la commune de Gages – Montrozier). C’est exceptionnel pour une seule commune.
La préservation et la valorisation de ces milieux naturels sont portées par les programmes Natura 2000 (Européen) et Espaces Naturels Sensibles (Départemental).
Un espace naturel sensible (ENS) est caractérisé par l’intérêt de son patrimoine naturel ou par les menaces qui peuvent peser sur lui.
Un espace naturel Natura 2000 est identifié pour la qualité, la rareté ou la fragilité des espèces animales ou végétales et de leurs habitats naturels.
Outil non réglementaire de protection des espaces naturels, la démarche ENS n’entraîne pas de contrainte et s’inscrit surtout dans une logique de Développement Durable en partant du précepte selon lequel la nature ne peut être préservée que si les personnes peuvent en profiter et savent la respecter.
Les ENS réussissent à faire coïncider, au niveau local, des intérêts économiques (attractivité du territoire, tourisme, agriculture), sociaux (éducation à l’environnement, qualité de vie,…) et environnementaux (préservation des richesses naturelles, maintien des milieux remarquables).
Chacun des trois sentiers de découvertes est balisé, équipé de panneaux qui donnent des informations sur la faune, la flore et la géologie.
Nous vous invitons à vous procurer, à la mairie, différents petits documents, édités pour faire œuvre de pédagogie, surtout auprès des enfants et des jeunes.
Bonne promenade à tous et bonnes découvertes !
Nos villages où il fait bon vivre
En janvier , l’association des villes et villages où il fait bon vivre a mis à disposition publique le palmarès 2020 des 34 841 communes de France métropolitaine où il fait bon vivre, classées en fonction de 4 niveaux, incluant la prise en compte des strates de population définies par l’Insee.
L’association des villes et villages où il fait bon vivre a fait réaliser plusieurs sondages OpinionWay depuis 2017, afin de définir les catégories/thématiques qui caractérisent une ville ou un village où il fait bon vivre pour les français. L’échantillon de personnes interrogées a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.
182 critères ont été retenus, répartis dans les 8 catégories issues des résultats des sondages, et analysés pour chaque territoire de France métropolitaine afin d’établir le palmarès.
Pour en savoir plus sur les critères vous pouvez consulter le site internet de l’association :